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Mercredi 9 juin 2021, nous avons eu le plaisir de recevoir dans nos locaux le Vice-Président de la Métropole de Lyon, délégué au Climat, à l’Energie et la Réduction de la publicité Philippe GUELPA-BONARO accompagné de Maxime FOREST, chargé de mission, ainsi que Coralie PFEIFFER, en charge du projet RLP aux côtés de Maureen Pepin.
Nous avons pu leur présenter notre entreprise CHARVET DIGITAL MEDIA, positionnée parmi les leaders du digital media en France, entreprise aux savoir-faire acquis depuis plus de 40 ans et son envie d’évoluer dans une démarche toujours plus durable.
Lors de cette visite ils ont pu croiser et échanger avec nos équipes locales (40 collaborateurs Lyonnais : R&D, production, installation, maintenance, services commerciaux, communication et administratif) ainsi que redécouvrir nos origines et notre attachement à ville de Lyon qui remonte à 1852.
Le Vice-Président et son équipe ont pu découvrir des dispositifs de 2 m², 4m², 5m² et 8m² en haute qualité et réglés correctement (sans éblouissement), en usage images fixes et non agressives.
Nous avons longuement débattu des incohérences du projet de RLPI en cours d’élaboration à la Métropole de Lyon, notamment concernant les restrictions en matière d’enseigne et les interdictions abusives relatives aux dispositifs numériques.
En effet, nous ne comprenons pas pourquoi la métropole veut interdire ses dispositifs dans les zones d’activités économiques, les zones avec une concentration de commerces ou les zones commerciales denses, et grands équipements. La métropole dispose de pôles économiques de renommée nationale voire internationale : il n’est pas concevable de restreindre l’usage du numérique utile au parcours clients dans ces zones. D’autant plus que 66% des Français pensent que la publicité dans la rue dynamise l’économie locale en valorisant les commerçants, les artisans et services de la ville (Source : étude KPMG) alors que ces magasins luttent contre la vente en ligne et les nouveaux modèles économiques.
Le dynamisme des commerces est un élément essentiel pour notre métropole et notre territoire.
Nous avons pu faire des propositions pour des extinctions nocturnes (22h) évitant tout usage de nuit permettant ainsi de limiter la pollution lumineuse et de réduire les contraintes liées à la biodiversité. Pour la première fois nous avons communiqué confidentiellement les consommations de nos dispositifs (très en dessous des annonces publiques), nos gains et nos engagements en faveur de la baisse de consommation et du développement durable plus largement.
Il n’est pas question que les dispositifs numériques soient sacrifiés (interdits à 100% sur le territoire) et soient la cible de toutes les critiques. Ils ne doivent pas porter tous les maux de la communication extérieure, alors qu’ils ne représentent qu’une part infime des dispositifs du territoire et disposent de nombreux avantages en faveur du développement durable.
Bien que nous comprenions certains arguments de réduction, nous espérons désormais une meilleure compréhension du sujet de l’affichage digital et des conséquences désastreuses de ce projet pour la profession et pour notre entreprise plus particulièrement.
Nous les remercions chaleureusement pour le temps passé à échanger sur des sujets plus que jamais d’actualité pour notre entreprise, et attendons avec impatience les nouvelles propositions.